Une assurance contre le risque

politique protège lorsque des larges factures restent impayées

Lorsque Ronald A. Chisholm Limited transportait sa viande à travers le monde, comme à l’habitude, un conflit international sans précédent, très médiatisé et qui risquait d’avoir d’importantes répercussions financières a éclaté. Heureusement, Chisholm avait eu la clairvoyance de souscrire une assurance-crédit d’Allianz Trade pour se protéger contre le risque politique et les imprévus et obtenir de l’aide si jamais de grosses factures ne lui étaient pas payées.

 

Industrie:

Alimentation

 

Défi:

Atténuer le risque de faire affaire avec des pays politiquement instables

 

Avantage de la police:

Règle les réclamations élevées et évite l’épuisement des ressources financières

Le risque politique est une réalité pour les sociétés internationales. Lorsque la Russie, contre toute attente, a imposé un embargo contre le Canada, les navires de l’entreprise torontoise Ronald A. Chisholm Limited qui transportaient en haute mer des cargaisons d’une valeur à huit chiffres, ont été bloqués, incapables de livrer leur marchandise à leurs clients de la Russie. « Nous avons d’abord cru qu’on nous permettrait de livrer la viande déjà en transit, ce qui est habituellement le cas lorsqu’un embargo est décrété », dit M. Badger, chef de l’exploitation chez Chisholm. Dans ce cas, cependant, la frontière était fermée à ces envois. Chisholm n'avait jamais été confronté à un événement de risque politique de cette ampleur.

Heureusement, en plus d’être souscrite à une assurance-crédit, elle est aussi couverte contre le risque politique. Maintenant, il était temps de voir si ces polices valaient vraiment la peine. L’embargo russe mettait en péril les activités de Chisholm. « Nous risquions une perte majeure », indique M. Badger.

Chisholm a communiqué avec Allianz Trade immédiatement après avoir pris connaissance de l'embargo et de l’impact sur les expéditions de viande de l'entreprise. En travaillant avec Allianz Trade, Chisholm a pu établir la valeur des produits touchés par l’embargo et a développé une stratégie pour atténuer la perte globale. Chisholm et Allianz Trade ont collaboré étroitement afin d’établir le prix auquel les cargaisons pourraient être vendues à d’autres pays et les solutions que Chisholm pouvait envisager pour recouvrer les sommes perdues.

Nous aurions pu attendre de voir si le prix allait remonter, mais cela aurait engendré des coûts de financement », explique M. Badger. « Avec Allianz Trade, nous avons plutôt décidé de vendre immédiatement toute notre viande à un prix inférieur de 30 % au revenu que nous attendions de nos clients russes. » Chisholm s’est également arrangée pour réduire les frais de réacheminement de sa viande afin de présenter une demande de règlement moins élevée à Allianz Trade.

Le montant final que Chisholm a reçu d’Allianz Trade, représentant environ le tiers de la couverture contre le risque politique, est un important volume de fonds propres que l’entreprise aurait autrement perdu.

« Nous nous sommes très bien sortis d’affaires dans le pire des scénarios envisageables » note Badger. « Allianz Trade a payé jusqu’au dernier cent du montant que nous attendions en fonction de nos calculs » En plus de couvrir la perte financière, l’assurance a permis Chisholm de maintenir une position forte auprès des banques et de démontrer que l’assurance du crédit et du risque politique fonctionne vraiment. « Allianz Trade souhaite autant que nous voir notre entreprise réussir et prospérer dans notre secteur d’activité. » dit Badger.